Si l’avortement a déjà été provoqué, que faire ?

De la rédaction
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07/02/2020 à 10:20, Vendredi

« Jésus, le Prophète Divin, est venu sur Terre pour sauver les créatures. Par conséquent, notre souci constant de défendre la Vie. » 

Paiva Netto, président-prédicateur de la Religion de Dieu, du Christ et de l’Esprit Saint

Sous la force de cette affirmation, la Religion de Dieu, du Christ et de l’Esprit Saint1 clarifie la question sur « Les graves conséquences spirituelles de l’Avortement provoqué ». Dans un document divisé en deux parties, elle présente, à partir de la Loi Universelle de Réincarnation, le lien spirituel profond qui existe entre l’enfant et ses parents.

SXC

Auparavant, dans la première partie du texte, nous avons vu la différence entre avortement spontané et avortement provoqué et ce qui arrive à l’esprit de l’enfant dans ces deux situations difficiles. Le moment où l’esprit s’unit au corps et commence la vie du fœtus. Et les droits et devoirs spirituels des parents et des familles durant ce processus.

Dans la suite, lisez d’autres points importants soulevés par la ministre-prédicatrice de la Religion du Troisième Millénaire, Paula Suelí :

Les conséquences spirituelles de l’avortement

Jésus, le Christ Œcuménique, le Divin Homme d’État, nous apprend à corriger ce qui est erroné sans juger. Et cela devrait être notre posture vis-à-vis à ce thème et à les conséquences de l’avortement provoqué.

Il y a plus de deux mille ans, Il nous a dit avec tant de sagesse : « Que celui d’entre vous qui est sans péché lui jette le premier une pierre ! » (Évangile selon Jean 8, 7). Et qui d’entre nous peut le faire ? Aucun d’entre nous, ni à l’époque, ni maintenant.

Jésus : Inspiration Divine pour la Vie

Nous cherchons dans l’étude de l’Évangile de Jésus, Éducateur Céleste — en Esprit et en Vérité, à la lumière de Son Nouveau Commandement : « Comme Je vous ai aimés, vous aussi, aimez-vous les uns les autres. À ceci tous reconnaîtront que vous êtes Mes disciples, si vous avez de l’Amour les uns pour les autres. » (Bonne Nouvelle selon Jean 13, 34 et 35) —, la connaissance spirituelle nécessaire pour agir avec équilibre face aux circonstances de la vie.

En particulier, pour ce débat, nous nous référons à la Parabole des serviteurs qui veillent (Évangile, selon Luc, 12, 35-48). Au verset 37, le Christ de Dieu affirme :

« Heureux ces serviteurs que le maître, à son retour, trouvera veillant ! Je vous le dis en vérité, il se ceindra, il les fera mettre à table, et s’approchera pour les servir. »

Jésus nous parle d’un bonheur profond pour tous ceux qui exercent leurs responsabilités spirituelles de la manière correcte, avec dévouement et vérité. Ils auront l’honneur d’être servis par le Maître lui-même.

Et dans ce cas, quand on parle de la famille, c’est la responsabilité de prendre soin de l’enfant, de soutenir l’Esprit qui ne peut se défendre, qui dépend à ce moment-là de la générosité, de l’engagement et de l’amour de ses parents pour naître et vivre.

Ces responsabilités ont été assumées vis-à-vis du Créateur lui-même ; ce n’est donc pas une discussion à analyser uniquement du point de vue matériel (ce qui est aussi important), mais elle doit partir principalement d’une analyse qui précède cette dimension de l’existence, car il s’agit d’un thème qui appartient au domaine de l’Esprit.

Aucun de nous ne peut octroyer le don de la vie ; nous ne sommes que ses médiateurs. La Vie appartient à Dieu.

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Toujours dans ce passage, au verset 42, le Libérateur Divin nous invite à réfléchir :

« Quel est donc l’économe fidèle et prudent que le maître établira sur ses gens, pour leur donner la nourriture au temps convenable ? »

La personne d’un économe représente celui qui est disposé à servir, qui est prudent, c’est-à-dire, sage, qui observe les conséquences de ses actions. Ici, il représente ceux qui se lèvent et prennent soin de leurs Frères avec honnêteté, courage et persévérance. Parce qu’avant d’être enfants et parents, nous sommes tous Frères, nous sommes les enfants de Dieu.

C’est pourquoi, quand nous examinons les versets 45 et 46, nous trouvons cet avertissement : « Mais, si ce serviteur dit en son cœur :

« Mon maître tarde à venir », et qu’il se mette à battre les serviteurs et les servantes, à manger, à boire et à s’enivrer, alors le maître de ce serviteur viendra le jour où il ne s’y attend pas et à l’heure qu’il ne connaît pas. Il le punira sévèrement et lui fera partager le sort des infidèles ».

Quand nous traitons de ce sujet (la préservation de la Vie), nous devons être conscients que nous possédons une sorte de pouvoir, qui est le droit à la vie ; dans notre cas, ce droit a été préservé.

Mais aucun d’entre nous ne peut utiliser son propre droit à la vie pour enlever à l’autre le droit de vivre.

Nous ne pouvons pas abuser du pouvoir, des capacités, des droits que Dieu nous a octroyés. Lorsque nous utilisons ce pouvoir de manière irresponsable, nous recevons l’effet des conséquences de nos actes et sommes appelés à répondre de notre imprudence.

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Quand l’avortement a déjà été provoqué

Pour comprendre quelle doit être notre posture face à une attitude erronée, nous avons recours aux versets 47 et 48 de la Parabole des serviteurs qui veillent qui clarifient les conséquences d’une erreur en considérant deux différents états de conscience, à savoir : quand une attitude est adoptée et la personne a conscience de son erreur et quand il n’y a pas une pleine conscience de la transgression qui est commise.

Jésus nous avertit que plus nous en savons sur un sujet donné, plus on exigera de nous la responsabilité de notre posture vis-à-vis de celui-ci. Provoquer un avortement conduira toujours à des conséquences spirituelles tragiques, car la Loi Divine qui gouverne l’Univers préserve toujours la vie, en toutes circonstances.

Que faire pour réparer l’action ?

- Priez pour l’esprit éternel de l’enfant

La première chose à faire est de prier. Demander à Dieu pour ce fils, cette fille qui se trouve dans le monde spirituel. Ouvrir son cœur devant le Médecin Céleste, supplier l’enfant qui est dans le Monde de la Vérité pour son pardon en priant Dieu pour une nouvelle opportunité de retrouvailles.

Demander au Père Céleste que cet enfant reçoive une nouvelle opportunité de naître à travers les mécanismes de la Loi Universelle de la Réincarnation. Supplier Dieu pour cette opportunité. Parler honnêtement de notre sentiment crée les conditions pour transformer cette circonstance de douleur en une chance pour un recommencement.

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- Agissez en faveur des enfants sur Terre

Et au-delà du geste sublime de la prière, il faut agir en faveur des enfants déjà nés sur la Terre, les soutenir avec toute l’attention méritée par ce fils ou cette fille qui est dans le monde spirituel et qui reçoit la force de cet acte d’amour où qu’il se trouve.

Ce sont là les opportunités miséricordieuses que Jésus offre constamment au cœur humain. En effet, c’est Lui qui a dit qu’Il est venu pour nous qui commettons des erreurs, qu’Il est venu inviter les pécheurs (ceux qui commettent des erreurs) au repentir (Évangile, selon Luc 5, 32)

L’Éducateur Céleste n’est pas venu pour nous juger, il est venu pour nous donner une chance. Sachons donc accueillir cette invitation à la rédemption, cette chance d’aider ceux qui sont autour de nous et ont aussi besoin de cette chance.

Le Christ travaille toujours pour que le pardon et l’Amour prédominent partout, pour que nous sachions honorer ce signe divin de la générosité de Dieu qu’est la vie.

La Protection Divine en faveur des familles

Puissions-nous, dans nos prières, demander au Père Céleste la force et la sagesse dont nous avons besoin pour toujours choisir la Vie, en demeurant dans Son Amour et en demandant la bénédiction des Esprits de Lumière pour toutes les mères qui portent leurs enfants dans leur ventre ainsi que pour tous les enfants qui réincarnent dans le monde et qui sont engendrés par leurs mères et soutenus par leurs parents, grands parents et leurs frères et sœurs.

Que la Protection Divine soit sur toutes les vies qui persistent malgré les immenses violences présentes à travers le monde. Et qu’elle atteigne aussi les mères qui accueillent les enfants des autres mères et toutes les personnes qui luttent pour la dignité de tout enfant de Dieu.

Puissions-nous, avec courage, toujours, nous dresser et nous battre pour ceux qui ne peuvent pas se défendre. Que, par notre geste, nous sachions clamer pour la vie, pour sa préservation dans toutes ses manifestations sacrées. Prions Dieu pour tous Ses enfants qui sont avant tout nos Frères.

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Religion de Dieu, du Christ et de l’Esprit Saint — également dénommée Religion du Troisième Millénaire et Religion de l’Amour Universel. Il s’agit de la Religion Œcuménique du Brésil et du monde.

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