Débat : pourquoi parler des drogues à la jeunesse?

Gabriela Marinho
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02/10/2014 à 22:00, Jeudi

« Toutes choses me sont licites, mais toutes ne me conviennent pas. Toutes choses me sont licites, mais je ne me laisserai pas dominer par aucune d’entre elles », Paul Apôtre (1 Corinthiens 6 : 12). À partir de cette affirmation, les jeunes militants de la Bonne Volonté de Dieu, de différents âges, débattent l’importance de parler des drogues dans la jeunesse ; envoyez également votre opinion.

Le thème a été choisi à cause des données chaque fois plus alarmantes qui exigent notre sérieuse attention. Selon l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (UNODC), en juin 2017, les drogues illicites tuent environ 19.000 personnes chaque année.

 

Nous reproduisons ci-après un extrait de ces débats ; réfléchissez avec nous !

André Franchi, 21 ans, diplômé en Production Musicale, Buenos Aires (Argentine) : Il est très important de traiter de ce sujet principalement dans la jeunesse car c’est le moment où nous commençons à prendre contact avec le monde et nous voulons être indépendants, connaître des nouveaux amis. C’est la phase de formation de notre caractère. Nous devons instruire la société qu’il faut prévenir !

Nayara Preda, 23 ans, diplômée en Communication Sociale, Publicité et Propagande, Brasília (Brésil) : Tous les jours, c’est disponible des informations qui prouvent les préjudices de tous les drogues à notre corps physique. Et, à la Religion de Dieu, du Christ et du Saint-Esprit nous apprenons que notre corps spirituel souffre également beaucoup avec cela. Alors, si nous voulons maîtriser notre corps, notre vie, nous ne pouvons pas avoir de doutes sur ce sujet.

Approximativement 4% des morts qui ont eu lieu dans le monde se rapportent à l’usage de l’alcool. L’excès d’alcool est intrinsèquement lié à des problèmes psychiatriques, à l’épilepsie, à la cirrhose, aux maladies cardiovasculaires et à plusieurs types de cancer. Données de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), dans le Rapport de situation mondial sur l’alcool et la santé 2011.


André Franchi : Le jeune aime les émotions fortes et il est souvent préoccupé de ce que les autres pensent de lui, et alors apparaissent les compagnies, les « amis », qui offrent de la drogue. Là, il ne veut pas rester en dehors ! Il finit par accepter. Ce qui devient un chemin sans retour car il devient dépendant. La drogue met fin à notre vie, à notre joie, nos buts et notre raisonnement. Pourquoi se soumettre à ce genre de vie, si nous pouvons être heureux et sains ?

Marco Dametto, 38 ans, professionnel de la radio, père de deux enfants, São Paulo (Brésil) : L’éducateur Paiva Netto depuis longtemps nous dit que si la vague est fausse, on doit nager contre la vague. Alors, seulement parce que la personne dit que je dois faire l’usage de drogues pour être plus beau, avoir plus de succès, être plus comme ça ou ça, je dois accepter ? Non ! Et il est très important que les parents ne boivent pas, ne fument pas, car l’exemple commence dans la maison !

L’éducateur Paiva Netto écrit : « (…) Les problèmes ont une solution lorsque les êtres humains se disposent réellement à les résoudre. C’est une question de respect au divin privilège d’exister. C’est pourquoi cette pensée de Henry Ford (1863-1947), qui un jour a défini la Bonne Volonté comme la force majeure de la Vie, tombe comme un gant ici : “Les temps de richesse ne naissent pas par hasard. Ils surgissent comme le résultat de beaucoup d’efforts et de persévérance”. Nous devons utiliser ce même effort dans la lutte contre les drogues qui portent le malheur dans tant de familles, et pour la réhabilitation de leurs usagers. Le crack, l’alcool, le tabac, pour n’en citer que quelques uns, sont, donc, de lamentables Armageddons à être surmontés ». 


Nayara Preda : Il est important de dire que ce n’est pas facile ! Aucun de nous n’est immune à la situation de se déparer avec une invitation au vice ou d’une drogue quelconque. C’est pourquoi il est indispensable que nous ayons un jour à jour salutaire, pour être forts, lorsque des invitations comme ça surgissent. Et cela se fait en cultivant de bonnes habitudes en famille, des lectures édifiantes et y inclus la prière.

Marco Dametto : Même pour ceux qui finissent par entrer dans cette situation et pensent : « Ah ! Mais alors, je suis perdu ? » Non ! Car en fait, Jésus, le Thaumaturge Céleste, a dit dans Son Évangile, selon Marc (2 : 17) : « Je ne suis pas venu pour les personnes saines, mais pour, au nom du Père Céleste, guérir les malades ». Et nous pouvons tous être guéris et orientés par le Maître Divin, tous les jours, indépendamment du fait que nous appartenions à un quelconque crédo, ethnie, ou une quelconque culture spécifique. Ce qui dépend de nous, c’est que nous recherchions cette guérison, alliant la force de volonté, le traitement médical avec la Foi inébranlable dans la protection de la Médecine Céleste. Alors, disons non aux drogues et oui à la Vie !

Envoyez vos doutes et commentaires sur ce thème et sur d’autres thèmes du quotidien à la Religion de Dieu, du Christ et de l’Esprit Saint. Permettez à la Spiritualité Œcuménique de faire partie de votre vie ! Et si ce contenu vous a fait du bien, partagez-le ! Il pourra également toucher le cœur de beaucoup d’autres personnes !

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